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Espérée par ses fans depuis quelques années, murmurée dans les paddocks depuis plusieurs semaines, l'arrivée de Toprak Razgatlioglu en MotoGP vient d'être officialisée ! Le double champion du monde Superbike (sur R1 puis M1000RR) intégrera l'équipe satellite Yamaha Pramac en 2026. Déclarations.

Merci Fabio ! Si le dimanche 11 mai 2025 a été le jour de gloire de Johann Zarco, premier vainqueur français de ''notre'' GP de France en catégorie reine depuis 71 ans (!), le samedi 10 aura été la journée de Fabio Quartararo, auteur d'une somptueuse pole record au circuit Bugatti et sage 4ème au Sprint.

Après Jerez, Le Mans ! Aux commandes de sa Yamaha M1 - beaucoup ? - moins performante que les Ducati des frères Marquez (toujours dans le coup, rassurez-vous), Fabio Quartararo signe sa seconde pole d'affilée : le public français exulte et scande une Marseillaise. La première du week-end ? Belle perf aussi de Vinales, 5ème pour l'écurie varoise Tech3. Passé par la Q1, Zarco chute en Q2 et partira 11ème.

Vainqueur hier du tout premier ''Le Tour MotoGP'' à vélo, Marc Marquez s'est à nouveau montré le plus rapide sur le circuit Bugatti au guidon de sa Ducati cette fois, et le seul à passer sous 1' 30. Mais Fabio Quartararo et Pecco Bagnaia se trouvent à deux petits dixièmes de seconde. Douzième ce vendredi, Johann Zarco va devoir passer par la Q1...

Le blason d'Iwata étrenne son inédit 4-cylindres en V de 1000 cc sur sa MotoGP YZR-M1 pendant des tests privés sur le circuit de Valence (Espagne). Objectif : déterminer si ce V4 peut remplacer l'actuel 4-en-ligne dès la saison 2026.

Attention, Yamaha se sort les doigts du pot d'échappement en 2025 et double le nombre de M1 alignées en MotoGP grâce à leur nouveau partenaire, la glorieuse écurie Pramac. Au sein du team officiel, notre champion du monde 2021 Fabio Quartararo espère toujours remonter aux avants-postes. Déclarations...

Deux Top 5 en Sprint à Jerez et à Sepang : tel est le maigre butin constitué par Yamaha en 2024 grâce à son talentueux Fabio Quartararo. La M1 n'est plus que l'ombre d'elle même, éclipsée par une Desmocedici GP imbattable ou presque aux gants de Jorge Martin et Pecco Bagnaia. Mais les Bleus travaillent dur pour revenir aux avants-postes... avec un V4.