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EAT MY DUST
Paris, le 27 juin 2025

Interview : Harley-Davidson La Roche-sur-Yon et son Sportster enduro

L'imagination gouverne le monde, aurait dit Napoléon 1er, créateur de La Roche-sur-Yon. Or c'est de la préfecture de Vendée qu'est originaire une improbable mais remarquable préparation moto : "Eat My Dust", une enduro extrapolée d'un Sportster 883 ! Interview de son génial inventeur et boss de la concession Harley-Davidson, Romain Hebert.

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Une Harley-Davidson tout-terrain ? Si, ça existe. Dans le catalogue officiel de la firme de Milwaukee tout d'abord et datant de 2022, la Pan America, maxitrail maxisophistiqué, cherche à rouler sur les platebandes de la référence allemande R1250GS, devenue ensuite R1300GS.

Mais ces dernières semaines, c'est un tout autre modèle, unique au monde, qui fait le "boucan" sur Internet et ses réseaux sociaux : la "Eat My Dust", un pur produit vendéen dévoilé lors des Wheels And Waves 2025 par la concession Harley-Davidson La-Roche-Sur-Yon !

Cette concession a beau être récente ("Since 2019", une débutante comparé à la Motor Company fondée en 1903 !) elle n'en demeure pas moins excellente : deuxième meilleur "performer" du réseau Harley-Davidson France en 2023, elle a décroché la première place en 2024, devant sa voisine de La Rochelle. Nah !

Un an après le Bagger orange lui aussi très remarqué, cette nouvelle préparation pas - du tout, du tout - comme les autres ne s'est pas contenté d'exposer ses belles pièces au soleil de Biarritz, aux flashes des photographes ou aux smartphones des passants. Elle les a exposé à la poussière lors d'une course d'enduro. Roh...

Intrigué par cette machine, sa genèse, sa fabrication, son utilité et son surnom, Moto-Net.Com a contacté le patron de la concession "Harley La Roche". Romain Herbert nous répond...

Interview : Harley-Davidson La Roche-sur-Yon et son Sportster enduro

Moto-Net.Com : Bonjour Romain, et félicitations pour cette prépa très réussie ! Peux-tu nous raconter d'où t'est venu cette idée saugrenue, comment tu l'as concrétisée, à quoi elle sert, pourquoi ce nom, etc ?
Romain Hebert, patron de HD La Roche Sur Yon :
Attention car j'ai une histoire pour tout ! C'est un peu notre marque de fabrique à La Roche-sur-Yon. Je ne vais pas dire qu'on ne fait rien par hasard, mais si nous avons un impact sur notre communauté de Harleyistes, c'est avant tout parce que nos projets, même décalés ou un peu idiots comme celui-ci, sont fondés sur une histoire, sur quelque chose qui tient la route...

MNC : Et quelle est celle à l'origine de cette prépa ?
R. B. :
Cela remonte à 2019 et à la convention annuelle de Milwaukee durant laquelle Rusty Butcher, alors ambassadeur Harley Davidson, exposait ses motos. Son fond de commerce aux États-Unis est de racheter de vieux Sportst' à carbu et de les transformer en motos d'Enduro, notamment pour participer à une course tout-terrain appelée The Mint 400, la plus ancienne et plus prestigieuse des États-Unis, dans la suite des Baja 500 et 1000 au Nouveau-Mexique.

MNC : L'idée a traversé l'Atlantique...
R. B. :
Oui. En France, des barjots de Flat Track (non-officiel Harley) avaient fait une préparation dans cet esprit l'hiver dernier, mais un peu à l'arrache, "craspouillette", qui avait été exposée sur le stand Parts Europe au dernier Salon de Lyon. De notre côté, nous tenions à reprendre les codes visuels du Sportster de 1966 à 2020 : peu importe la génération, tu reconnais toujours l'ensemble réservoir-moteur-châssis. Au début, je pensais utiliser la partie-cycle (bras oscillant, amortisseur et fourche) d'une moto d'enduro moderne. Mais en discutant avec des américains qui participent à cette fameuse Mint 400, en catégorie Harley, j'ai appris qu'il n'y avait finalement qu'à changer le train avant.

MNC : À quoi ressemblait le Sportster de base ?
R. B. :
C'était un vieux modèle "Hugger" de 1989, donc ce n'est même pas un moteur Evo. Il a une boite 4-rapports et transmission par chaîne d'origine.

Interview : Harley-Davidson La Roche-sur-Yon et son Sportster enduro

MNC : D'où venait cette moto et pourquoi celle-ci ? C'était la seule moto qui traînait dans l'atelier (!) ou était-ce techniquement intéressant ?
R. B. :
C'est une moto qui venait de Charentes-Maritimes...

MNC : … récupérée dans une grange ?
R. B. :
Oh, c'était pire que ça ! C'était une moto donneuse d'organes qui traînait dans la concession HD La Rochelle, mais qui ne roulait plus du tout. Sur le papier, elle n'avait pas beaucoup de bornes (rires).

MNC : Sur le papier, d'accord… mais dans les bielles ?
R. B. :
Peu importe au final, on a refait le moteur bien propre. Et puis c'est un 883, ça prend 3000 tr/min maxi donc c'est pas trop exigeant. En revanche c'est blindé de couple. Le choix s'est porté sur cette moto par opportunité d'abord, et en raison du budget qu'on souhaitait le plus bas possible. C'est bien beau de partir d'un Sportster à 8 ou 9000 balles, mais c'était pour le transformer en moto d'Enduro qui ne sert à rien ! Et puis le temps des Sportster ou Forty-Eight préparés, à 20 000 euros, équipés "Full" Roland Sands, c'est révolu. C'était justement le contre-pied total de notre prépa pour la Battle 2024 où nous étions partis d'un Road Glide quasiment neuf.

MNC : Le moteur vous a demandé beaucoup de boulot ?
R. B. :
On a employé un nouveau procédé pour son nettoyage. C'est du Vaporblasting, de l'eau à ébulition chargée en poussière de verre. On avait démonté le moteur pour le remettre à niveau (boite de vitesse pliée en deux, joints morts, etc) mais on l'a remonté, puis on l'a confié à l'atelier Kalagan à La Roche-sur-Yon, complètement assemblé et dégueulasse. Il est ressorti de la machine avec un aspect neuf : on pouvait croire qu'il avait été sablé puis repeint, mais en fait non, il était brut.

 
 
 
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MNC : Techniquement, c'était intéressant de choisir cette base ?
R. B. :
Stratégiquement oui, car un boite-4 tire plus long et devait être plus facile à emmener en Enduro qu'un boite-5. Après, l'adaptation a été un peu compliquée car ce n'est pas notre coeur de métier : on a du faire un peu de "recherche et développement" pour monter un train avant de KTM EXC des années 2000. Il a fallu calculer la géométrie idéale en termes de garde au sol, de cinmatiques de suspensions avant et arrière, afin que nos partenaires EMC de Villeurbanne puissent nous produire les bonnes pièces. Avec François justement (François Speck, patron d'EMC, NDLR), on a pris les cotes, les poids de la moto et du pilote… et "En avant Guingamp" ! On a du raccourcir la fourche et y intégrer un kit cartouche. EMC nous a créé des amortisseurs, ses plus grands jamais installés sur un Sportst', car François avait déjà créé un kit pour les américains.

MNC : Il connaissait donc déjà un peu ?
R. B. :
Un peu oui, sauf que là, il nous a pris pour des cinglés car on ajoutait entre 4 et 5 cm en longueur et en débattement aux éléments qu'il avait conçu il y a une quinzaine d'années. À l'époque, il avait produit 200 kits pour un magasin américain. Des versions quasi stock, "Plug an Play" pour aller s'amuser en Sportster dans les montagnes, moins typés que ce qu'on souhaitait nous. Cette fois, vu la longueur des amortos, il a fallu qu'il change leur diamètre et celui de la tige de piston. Pour la fourche, il m'a traité de tous les noms car il trouvait que la WP (âgée d'un quart de siècle, je rappelle) se tenait comme une merguez… Il aurait préféré bosser sur un modèle plus récent.

MNC : Qui d'autre a participé à ce projet ?
R. B. :
À part François à Lyon, tous nos autres partenaires sont basés chez nous, en Vendée. La peinture du châssis par exemple, a été réalisée par nos amis de DB Jantes. Pour les jantes d'ailleurs, on a du installer de nouveaux cerceaux et rayons sur les moyeux Harley à l'avant, Katoche à l'arrière. Pour des questions de budget toujours, on n'a pas voulu de peinture complète, j'ai préféré demander des autocollants chez Kutvek. On a sélectionné des garde-boues un peu larges, un peu "mochetouilles", on a monté une plaque phare carbone Paris/Dakar. Tout cela devait correspondre au look des années 1995-2000. Inutile de chercher le kit déco des garde-boues Troy Lee : je les avais trouvé dans le fin-fond des États-Unis ! Il dataient de 98-99. On n'a pas changé des wagons de pièces, mais on a été aidé par Parts Europe aussi. Notre deadline était le festival Wheels and Waves et son Enduro Vintage. Sachant que j'ai récupéré la moto mi-janvier… On a dit sur les réseaux qu'on avait passé six mois sur ce projet, mais il a fallu être plus rapide ça en fait.

Interview : Harley-Davidson La Roche-sur-Yon et son Sportster enduro

MNC : Les prépas sont souvent de belles motos d'expo. Or celle-ci roule pour de vrai. Tu l'as pilotée sur la WAW Vintage Rally à Saint-Pée-sur-Nivelle. Pas trop physique à manier ?
R. B. :
Pffff… ça fait 300 kg, c'est une baignoire ! C'est pas maniable car c'est lourd et haut, il y a du débattement. J'en ai un peu chié aux Wheels car je n'avais pas eu le temps de peaufiner les réglages de suspensions, mais ça l'a fait. Je diaris que c'est comparable aux 600XR des années 90-95 : la moto devient un rail passé les 70 km/h et tu peux tordre la poignée. Sur la course des Wheels, tout une partie était sur un terrain de cross donc là, il fallait oublier le frein avant, placer la moto dans le virage au frein arrière, la caler dans une ornière et ouvrir les gaz en grand. C'était marrant car à un endroit, t'avais une montée de 4 ou 5 mètres avant un 180°, à gravir à fond de première en partant arrêté. Bah ça grimpe aux arbres ! Et question garde au sol, il n'y a eu aucun souci car on la voulais au standards des motos du moment.

MNC : Cette "Eat My Dust" pourrait rouler sur route ?
R. B. :
Oui ! L'un des objectifs, comme pour la Bagger réalisée l'an passé pour le Castellet, c'était de créer une moto qui puisse être homologuée, comme une vraie Enduro et non une Cross. Elle a les feux (codes, pleins phares, stop), les clignos, le klaxon... Il ne manque pour ainsi dire que la plaque d'immatriculation et les papiers.

MNC : Que va devenir cette moto désormais ?
R. B. :
On a fait un peu mouche avec elle ! Donc je cherche à m'inscrire à l'une des dernières manches du championnat de France d'Enduro. D'où la présence de pneus Michelin homologués sur la moto. Même si je sais que je ne terminerai pas (la dernière manche, c'était quand même le Trèfle Lozérien !), ça me plairait de participer et d'aller le plus loin possible. Même un pilote pro ne finirait pas. Mais bon, il ne prendrais surtout pas le départ ! Pour le principe donc, j'aimerais m'engager pour aller au bout du truc : passer le contrôle technique et prendre le départ. Après "Inch Allah", on verra où ça nous mène.

Interview : Harley-Davidson La Roche-sur-Yon et son Sportster enduro

MNC : Tu dis que ce projet vous a demandé beaucoup "de travail, d’acharnement, mais surtout de volonté". Mais il vous a assuré beaucoup de visibilité en retour. C'est une beau coup de com', la preuve avec MNC !
R. B. :
Avec la Bagger l'an dernier, j'avais tenu quasiment cinq mois, à communiquer dessus et autour. Pareil pour cette moto qui m'a permis de fédérer davantage notre communauté de Vendée et des environs. Cela fait quinze ans qu'on entretient des motos, qu'on en vend des neuves ou des occasions, qu'on vend des blousons et des accessoires. Le but, c'est de diversifier notre flot d'actualités autour de la concession, sur les réseaux, etc..

MNC : Ce serait aussi un bon moyen de promouvoir la Pan-America ? Vous en vendrez un peu plus ?
R. B. :
Je ne crois pas, car l'an dernier déjà, la "Orange" n'avait pas dopé nos ventes. Le premier intérêt, c'est de rappeler ou apprendre aux gens qu'à La Roche-sur-Yon, il y a une concession Harley-Davidson ! Tout le monde connaît celle de Nantes car elle a 40 ans, ou celle du Mans qui en a plus de 25. Mais nous, qui nous sommes installés en 2019, pas forcément. Les gens connaissent les Sables-d'Olonne, moins La Roche-sur-Yon : principalement parce qu'on se trouve près de la mer, mais pas juste au bord. C'est donc compliqué d'attirer les touristes.

MNC : Ces préparations sont bonnes en termes de notoriété ?
R. B. :
C'est clair. Et puis, comme dans n'importe quel autre commerce : on sème, en espérant qu'un jour peut-être… Pour nos clients, c'est aussi l'occasion de passer nous voir. Depuis quinze jours et notre retour des Wheels and Waves, j'ai tous les jours des appels pour savoir où se trouve la moto. Or je l'ai mise à disposition d'Harley-France, pour qu'ils l'exposent au Trail Adventure Days dans le Cantal. Mais dès que je la récupère, je fais une soirée de présentation dans un grand complexe de bowling, car les proprios sont clients de la concession. Ça se trouve aux Herbiers, dans le fin-fond du 85, ce qui me permet d'animer toute la région vendéenne, très vaste. Or certains clients ont plus vite fait d'aller à Nantes, ou à La Rochelle.

Interview : Harley-Davidson La Roche-sur-Yon et son Sportster enduro

MNC : Ces rendez-vous sont fréquents chez HD La Roche ?
R. B. :
On essaye, oui. L'an dernier par exemple, on avait privatisé une piste de karting. Le but était de passer une belle soirée barbecue, comme on le ferait entre amis. On avait dit aux parents de venir avec les gamins, mais de ne pas oublier leurs vélos pour qu'ils puissent profiter du circuit… et laisser les grands dîner tranquilles ! On a même un copain qui est venu faire un show de stunt d'un quart d'heure, rien que pour nous. Les clients étaient ravis, ils avaient la sensation d'être privilégiés. Je n'ai pas fait de vente le soir même, ni le lendemain, mais quand ils repassent à la concession, c'est plus facile pour ma force de vente.

MNC : Cette "Eat My Dust" a suscité l’étonnement, piqué la curiosité, éveillé des convoitises ?
R. B. :
J'aurais pu la vendre sur les Wheels, suite aux parutions. Un monsieur m'a contacté, par un copain de copain, et m'a fait une proposition. Mais j'ai encore besoin d'elle, et puis on a du mal à fixer un prix sur ce genre de préparations qui a demandé autant de jus de cervelle, de nerfs et de tripes…

MNC : Enfin,"Last but not least"… d'où vient le nom "Bouffe ma poussière" ?
R. B. :
Ah ça aussi, c'est une drôle d'histoire qui remonte à avril 2022. C'était le lancement de la Pan America, on avait déjà vendu toutes les motos affectées en précommande mais, on n'avait reçu aucune moto de démonstration. Donc les responsables de secteur chez Harley France ont été chargé d'effectuer la tournée du réseau avec une moto du parc presse. Le but était de faire une présentation technique aux équipes, et l'exposer aux futurs propriétaires. J'en avais profité pour aller faire des photos et vidéos dans une carrière à côté de la concession. Bon, j'ai une vidéo de quatre secondes de cette jolie moto où je fais 1ère, 2ème, 3ème au rupteur, et je m'envole avec la moto. J'en garde un joli poster que madame m'a offert, comme une affiche de film intitulé "Les carrières de l'enfer - Eat My Dust". Autant te dire que j'avais failli me faire virer du réseau ce jour-là.

Interview : Harley-Davidson La Roche-sur-Yon et son Sportster enduro

MNC : Tu étais encore en période d'essai, suite au Covid, etc.
R. B. :
Un peu oui, j'étais arrivé en avril 2020 et là, je leur détruit tout un flanc d'une moto toute neuve, et alors quasi unique en France ! Harley en avait besoin le lendemain à 9h pour la concession suivante. On a démonté, poncé, repeint, fait tout ce qu'on pouvait et au final, ça ne s'est pas vu. Donc, dès le début de ce projet de Sporster Enduro, je me suis mis en quête d'un nom sympa. Je ne trouvais pas et madame m'a dit que j'en avais déjà un : "Eat My Dust"… J'en ai parlé à la concession et ça a fait marrer tout le monde, car même si tu ne parles pas anglais, tu saisis l'idée de manger, de saleté…

MNC : On comprend mieux. Merci beaucoup Romain !
R. B. :
Je t'en prie Matthieu, merci à toi !

Harley-Davidson "Eat My Dust" : les détails de la prépa

  • Suspensions/chassis/carrosserie :
    • Fourche KTM 300 EXC à cartouche, raccourcie et modifiée par EMC Suspensions (Lyon)
    • Amortisseurs arrières sur mesure de 44 cm de longueur fabriqués par EMC Suspensions
    • Cadre et bras oscillant du sportster 883 d'origine
    • Jantes Moose Racing
    • Pneus enduro Michelin homologués FIM
    • Kit plastique / sabot Cycra (USA)
    • Plaque phare carbone Paris/Dakar des années 90/2000 fabriquée par Challenge 75 (Paris)
    • Selle sur mesure Home Made
    • Kit déco Kutwek
    • Peinture réalisée par la société DB Jantes (La Roche Sur Yon)
  • Freinage :
    • Etrier avant brembo 4 pistons
    • Disque et patte de déport Motomaster diamètre
    • Etrier/disque arrière simple piston d'origine du Sportster
  • Commandes :
    • Guidon Nekken
    • Pontets Scar
    • Maitre cylindre et etrier avant Brembo
    • Kit disque Motomaster Oversize
    • Maitre cylindre et étrier arrière Harley-Davidson origine
    • Commodos Sportster origine
    • Fabrication d'un tirage de gaz Homemade
  • Powertrain / transmission :
    • Moteur d'origine 883 Stage 1
    • Ligne complète Supertrapp
    • Transmission chaîne Regina

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